On peut parler du sadomasochisme comme d’une amélioration des relations sexuelles ou, plus rarement, comme d’un substitut ou d’une condition sine qua non. Le fait d’infliger de la douleur, etc., est le chemin que certains ont trouvé pour atteindre l’extase sur le plan sexuel, alors que la représentation de la violence peut permettre d’exprimer et de renforcer les liens d’attachement.
En réalité, les pratiques sadomasochistes sont souvent initiées au souhait, et au profit, du masochiste, qui guide les séances à l’aide de signaux discrets. On peut de manière aisé dire que ce qui attire les fans de sadomasochisme est ce côté domination et subordination, on en parle dans les lignes qui suivent. Une expérience de rencontre sado maso trans à voir sur le site, cliquez et découvrez ce monde libertin.
La domination et la subordination, deux aspects qui caractérisent le sadomasochisme
La relation entre domination et subordination, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la chambre à coucher, a une longue histoire évolutive. Bien que nous devions tous être conscients du sophisme naturaliste (c’est-à-dire l’affirmation selon laquelle, parce que quelque chose est « naturel », il est moral ou devrait être désiré), nous devrions donner à la nature son dû lorsqu’elle nous oriente vers un plus grand bien-être et un plaisir éthique. Ainsi, la dynamique entre domination et subordination est non seulement naturelle, mais elle est également capable d’éclairer les limites du plaisir humain, tout en jouant, paradoxalement, sur la douleur humaine.
La tension sexuelle est souvent, sinon toujours, produite par la friction entre la domination et la subordination. C’est en cela que la pratique sado-maso trouve son essence et procure du plaisir à ses pratiquants. Même le flirt innocent et les taquineries des adolescents sont, au fond, un échange de pouvoir, qui nourrit au fil du temps, pour beaucoup d’entre eux, ce penchant pour cette forme de sexualité.
